vendredi 7 décembre 2007

What's the problem ?


Le temps passe vite, déjà au sommet , on l'avait attendu depuis longtemps et Thrilla le nouvel album du Boss arrive à grands pas . Rick Ross saute pour l'occasion du haut de Port Boulevard : une grosse bombe pour vider toute l'eau de Miami Beach , comme Moïse les flows s'écartent en vibes sacrées sous son poid , plus messianique que jamais , Ross est désormais un prophète , R. Kelly un apôtre , Miami son royaume.

2 commentaires:

Unknown a dit…

http://myspacetv.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=22180268

Nouveau clip les biatchs...

Thibaut a dit…

Si tu l'as pas vu sur fluokids, voilà un rattrapage.

Downtownkids, je viens de me taper une magnifique crise de rire en lisant ta réponse. Ça me fait tellement plaisir de voir que des gens comme toi ça existe encore: oui des gens qui ne savent rien ou pas grand-chose. J'adore quand on parle sans connaître, allez vas-y sors-moi ta science en audiovisuel. Tu joue avec tes platines et ton petit programme, c'est bien, mais tu devrais sortir plus. Comme ça tu irais parler aux gens plutôt que de tout de suite leur balancer tes petites vannes. Tu es vexé? Pauvre chou, j'en suis désolé.
Au fait, c'est pas toi qui fait un cliché en disant que Dobermann est un chef d'oeuvre pour tous les "mecs comme moi". Et au fait « la société c’est pas bien ? » Tu serais pas un peu stupide ? Désolé ma poule, mais apparemment tu es dépourvu de tout cerveau ou de quelque chose qui pourrait s’y apparenter, alors forcément j’en rajoute.
Allez, je vais te faire un cours, écoute bien :

Pour commencer, tu apprendras qu’avant de juger quelqu’un, qu’il faudrait le connaître d’abord. De plus, il me semble que tu juges les intermittents, fais-tu partis des gens qui pensent que nous sommes des fainéants ? Tu dois bosser aux 35 heures, pardon, mais pour moi 35 heures de taf, ça représente 2 jours et demi. Tu parles de « mon travail d’étudiant en audiovisuel plein de clichés ». Merci encore une fois, mais tout le monde n’est pas dénué d’intelligence, qui plus est je sens chez toi une animosité empreinte de jalousie. Tu ferais donc parti de tous ces gens qui n’ont pas pu entrer dans un BTS audiovisuel parce que la sélection était trop dure. C’est vrai, on est pris sur dossier et entretien, il faut un peu plus que les euros de papa pour y rentrer, mais bon ça apparemment tu ne l’as pas bien intégré. C’est pas privé, mais public.
Ensuite, « la société c’est pas bien ». Dis-moi pépère, tu crois réellement que c’est parce qu’on critique un film qu’on pense ça ? De plus, tu sembles penser que les intermittents ou les gens qui bossent dans la télé, la radio ou le cinéma (les médias tu sais, y a les journaux aussi) sont des chieurs qui gueulent tout le temps. Tu sais ce que ça fait de ce faire emmerder par des gars dans ton genre (tu te permets de me mettre dans une catégorie, je le fais aussi c’est de bonne guerre), tous les jours parce que monsieur n’est pas foutu de câbler sa console tout seul ou alors parce que monsieur ne connais pas son texte donc c’est la faute du technicien, ou alors parce que monsieur n’est pas assez malin pour savoir régler un ampli correctement et qu’accorder un instrument lui-même ça lui ferait mal aux oreilles. J’en passe et des meilleurs sur ce type de personnes. « La société c’est pas bien » welcome mec ta phrase elle ne veut rien dire, tu prends les gens pour des cons sans te remettre en question pour voir que tu en es un toi-même.

Tu parles de clichés : tu as bien regardé le film ? Parce que au niveau du cliché, j’ai l’impression que tu devrais revoir tes classiques, « Electroma » en est bourré. Passons sur ta culture, ça ne me regarde et je peux me tromper, peut-être as-tu vu l’intégrale des films de David Lynch, de Kubrick, de Loach, de Chaplin, de Fritzlang et les autres. De toute façon, même sans avoir vu tout ça tu aurais quand même le droit de critiquer un de leurs films ou même un autre si ça te chante. C’est ce que l’on appelle le libre arbitre et on combine ça avec la liberté d’expression. Tu connais ces notions ? Donc ne viens pas me les casser, parce que j’ai touché aux sacro-saints Daft Punk.
J’ai peut-être heurté ta sensibilité de fan des Daft. Pas de chance, ça n’est pas parce qu’on aime, que l’on ne peut pas avoir un regard critique. J’adore les Daft-Punk, mais si je n’aime pas un morceau ou leurs films, je ne vois pas pourquoi et en quel nom je devrais me taire pour ne pas choquer ton égo de fan.
Allons maintenant vers ta brillante et hilarante phrase « Dobermann est un chef d’œuvre ». C’est tellement stupide comme « accusation » ou autre chose de ce genre, que je n’ai pas envie de répondre, mais je sens que tu serais déçu, je prends donc 5 minutes pour t’expliquer simplement. Que l’on considère à tort ou à raison qu’un film est un chef d’œuvre ou pas, cela reste un avis personnel. Tu sais, on revient une nouvelle fois au libre-arbitre. De plus, tu sembles classer les gens dans des catégories. Je vais prendre un exemple très bête : si un Musulman t’agresse physiquement, si je suis ta logique, tu en conclues donc que tous les Musulmans sont des gens violents. Ne serais-tu pas un brin dénué de bon sens ? Je pose la question, on ne sait jamais.

Voilà bien quelque chose qui me surprend vois-tu. Je me retrouve à répondre à quelqu’un qui apparemment met les gens dans des catégories ; considère que je suis aigri simplement parce que je critique un film (désolé mais ça fait un peu léger tu crois pas ?) ; qui pense que les étudiants en audiovisuel sont tous les mêmes et qu’ils trouvent tous que Dobermann est un chef d’œuvre (si tu en connais un, tu me le présente, personnellement je n’en connais pas), ce qui nous ramène aux catégories ; qui croit faire de l’esprit avec des « bouuuuuuarff arf arf», n’en seras-tu pas dénué ? (je me pose la question, c’est légitime) ; et ne semble pas plus apte à l’argumentation pour défendre son point de vue.

Au fait, je ne suis pas étudiant, si tu savais lire et pas seulement mettre les mots, les uns à la suite des autres, tu verrais que j’ai noté « Je me souviens encore des belles images (c'est mon job d'en faire) » (lignes 4 et 5 au cas où tu serais perdu). Je suis donc intermittent du spectacle et apparemment le cliché ici ça n’est pas moi.
Sans rancune.